Dans
la série des injustices, il existe celles de certaines femmes
scientifiques. Ayant pourtant fait avancer le monde, elles n’ont
jamais reçu de prix Nobel pour leurs travaux.
«
partie 5 »
La
thèse de Doctorat la plus brillante jamais écrite en Astronomie
L’astronome
américaine Cecilia Payne-Gaposchkin
n’a pas eu plus de
chance que ses collègues. Obligée de s’expatrier aux
Etats-Unis pour travailler dans les sciences, ses études la
mèneront à prouver en 1924 que les étoiles sont composées
d’hélium et d’hydrogène. Une découverte hautement novatrice
pour l’époque. Néanmoins, le professeur Henry Russel la
dissuade de publier une telle découverte. Cinq ans plus
tard, Russel publie l’article de Cecilia s’attribuant
les résultats de ses recherches. C’est lui qui sera honoré du
prix Nobel associé.
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