Voici comment l’Islande a réussi à détourner les jeunes de la drogue et de l’alcool

Il y a 25 ans, la jeunesse islandaise était quelque peu désabusée ; un quart des jeunes entre 14 et 16 ans fumait quotidiennement et 40 % avaient déjà été ivres le mois précédant l’enquête. Mais l’arrivée du professeur de psychologie Harvey Milkman en Islande a tout changé pour les jeunes. Il n’existe pas de recette miracle, pourtant, il suffit de quelques règles et de beaucoup d’épanouissement pour combattre les abus de drogue et d’alcool.

D’après le professeur Milkman, la consommation de substances psychotropes est vécue comme un moyen de combattre le stress. Certains voudront boire ou se piquer à l’héroïne pour s’insensibiliser et tomber dans l’apathie, d’autres préfèreront prendre du speed ou de la cocaïne pour accroître leur confiance en eux et faire face à leurs problèmes. D’après lui, les jeunes qui deviennent addicts à ce genre de substances sont déjà dans une posture abusive avant de sombrer.

Afin de combattre la détresse des jeunes, Milkman a créé le Project Self-Discovery littéralement projet de découverte de soi, à Denver. Milkmansouhaitait occuper l’esprit des jeunes de manière positive afin de les détourner de la drogue et de l’alcool. Il a ainsi conçu un projet poussant les jeunes à se révéler et à s’exprimer à travers des activités variées comme la musique, la danse, l’Art ou les arts martiaux

DES RÉSULTATS ÉDIFIANTS

De 1997 à 2012, les parents ont passé deux fois plus de temps avec leurs enfants et le nombre de jeunes pratiquant une activité sportive a également doublé. La consommation de cigarette, de cannabis et d’alcool n’a fait que chuter depuis. Entre 1998 et 2016, le nombre de jeunes entre 15 et 16 ans ayant été ivre le mois précédant l’enquête est passé de 42 à 5 %. Le nombre de ceux ayant déjà testé le cannabis est passé de 17 % à 7 % et le nombre de fumeurs est passé de 23 % à 3 % sur la même période.

Les jeunes islandais sont aujourd’hui les adolescents les plus sains d’Europe.

Vue sur :http://dailygeekshow.com/islande-jeunes-drogues/

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Si Vous LeVoulez Bien*

Les terrasses seraient-elles en passe de devenir non-fumeur ?

Dans une période où la santé devient de plus en plus importante aux yeux de tous, il n'est pas surprenant qu'une initiative telle que Ma Terrasse Sans Tabac voit le jour. Alors que les fumeurs ont du abandonner la chaleur des lieux publics et se rabattre sur les terrasses depuis la loi Evin de 2007, ces dernières risquent également de devenir non-fumeur dans les mois à venir.

Pas toutes, bien entendu, puisque l'initiative propose sur la base du choix aux restaurants et bars qui se sentent concernés, de signer une charte en ligne justifiant de leur adhésion au mouvement, signifiant donc au Ministère des Affaires Sociales ainsi qu'à leurs clients que leurs espaces extérieurs ne tolèreront plus la fumée de cigarette. Grâce à une application dédiée, les non-fumeurs avides d'air pur pourront trouver les terrasses non-fumeurs les plus proches d'eux en moins de temps qu'il n'en faut pour s'en allumer une.

Une initiative qui mérite d'être applaudie lorsqu'on connaît les dégâts engendrés par le tabagisme passif et quand on sait que huit français sur dix déclarent ouvertement être gênés par la fumée de cigarette.

Et vous alors, qu'est-ce que vous pensez de ce genre d'initiatives ? 

Vue sur : internet                     

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La mère et sa fille se déguisent en personnages de Disney

Sa maman lui a  offert une robe de princesse. Camillia a photographié sa fille, et le résultat était tellement grandiose qu'elles ont décidé d'aller encore plus loin.

Sa maman a donc eu l'idée d'un shooting photos avec des personnages Disney et compagnie ! Elle a même donné de sa personne et a posé avec sa fille. Mais son truc à elle, ce sont plutôt les méchants des films d'animation. Ce duo mère-fille a déjà plus de 19 000 followers sur Instagram. C'est dire à quel point leurs cosplays sont réussis.  Je vous laisse découvrir les images, tout simplement magnifiques !

Vue sur : internet                

J'adore 

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Bouger plus pour souffrir moins !

Les médecins français peuvent prescrire du sport sur ordonnance aux patients atteints d’affections de longue durée (cancer, diabète…) afin d’éviter les récidives, d’améliorer la qualité de vie et de limiter les désagréments liés à la maladie.

Pas question donc de prendre l’excuse de son (grand) âge pour se dispenser d’une pratique sportive régulière. Ni d’avancer que l’on souffre trop du dos, des articulations ou des pieds… pour s’astreindre à bouger. Bien au contraire. Une  série d’expériences menées auprès d’une cinquantaine de participants de 60 à 77 ans a permis d’établir que les personnes qui se dépensaient, et ce, même si elles avaient

des douleurs régulières, percevaient moins la souffrance. Mieux encore, elles réussissaient à éviter que leur mal devienne chronique !

De jour en jour, les preuves des effets thérapeutiques (anti-âge, cholestérol, diabète, obésité, stress… ) de l’entraînement s’accumulent. Une vraie pilule miracle, pas encore remboursée par la Sécurité sociale, mais très bon marché et à la disposition de tous. Qu’on se le dise !

Vue sur :  Check-up -                            

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Sexe : l’odeur ça compte !

L’amour avec une pince à linge sur le nez ? Non merci… Selon un sondage, mené par le site de relation extra-conjugales (c’est du beau…) Victoria Milan, les effluves corporels semblent avoir leur importance dans l’acceptation (ou le refus) de l’acte sexuel.

Ce n’est pas bien étonnant, messieurs, mais vous risquez de prendre une veste si vous n’avez pas pris une douche. Parmi les femmes interrogées, 43 % estiment l’odeur masculine « fondamentale ». A tel point que 5 femmes sur 10 sont prêtes à larguer celui qui fait tomber les mouches. Et lors de votre premier rendez-vous, mieux vaut sentir la rose que le camembert : 80 % des femmes interrogées ne s’offriront pas si l’odeur corporelle n’est pas agréable. Et pas la peine de s’inonder d’eau de toilette pour masquer l’infamie. Tout commence par une bonne hygiène. On n’est plus des ados.

Les hommes eux, sont moins regardants (enfin reniflants), la moitié d’entre eux affirmant pouvoir finir au lit quelle que soit l’odeur dégagée par l’objet de leur désir (sans doute la moitié abstinente depuis un moment) et seuls 24 % ont interrompu une relation parce qu’ils n’arrivaient plus à supporter les fragrances dégagées par la dame. L’étude, en revanche, ne précise pas de quelles parties de l’anatomie des amoureux il était question. Il y a plusieurs possibilités.

Vue sur : dans Petits plaisirs             

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